26 décembre 2009
Déséquilibrés
Un type agresse Berlusconi, on le présente comme un déséquilibré.
Une femme se jette le pape, on la présente comme une déséquilibrée.
C'est la réaction coutumière des gens de pouvoir qui disent que si on les agresse, ce n'est pas pour (ou contre) leurs idées ou les propos qu'ils profèrent, mais parce que leur agresseur n'est pas un être "normal".
Ca évite qu'ils se posent des questions (qu'ils n'ont pas envie de se poser tant ils ont les réponses) et évitent que d'autres les leur posent.
Et tout ça est bien repris en choeur par les journalistes.
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